
À la fin du deuxième trimestre 2019, la dette publique de Maastricht s’établit à 2 375,4 Md€, en hausse de 16,6 Md€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), elle est stable par rapport au premier trimestre 2019, à 99,5 %. La dette publique nette augmente plus fortement (+26,4 Md€) et s’établit à 90,4 % du PIB.
La dette trimestrielle étant fondée sur des sources comptables moins complètes que les comptes annuels, son profil demeure révisable pendant plusieurs trimestres.
Pour une période donnée, la variation de la dette ne permet pas de déduire le déficit public. Pour passer de la variation de la dette brute au sens de Maastricht au déficit, il faut tenir compte de la variation des actifs financiers et des passifs exclus du périmètre de la dette de Maastricht, dont les primes et décotes à l’émission. En outre, le déficit public trimestriel publié par l’Insee est corrigé des variations saisonnières et de l’effet des jours ouvrables, ce qui n’est pas le cas de la dette trimestrielle.
Les dettes des administrations publiques locales et de sécurité sociale diminuent
La contribution des administrations publiques locales (Apul) à la dette diminue de 0,3 Md€, traduisant le désendettement des départements (−0,8 Md€), des régions (−0,2 Md€), des communes (−0,1 Md€) et des syndicats d’administrations publiques locales (−0,1 Md€). À l’inverse, la Société du Grand Paris (SGP) et Île-de-France Mobilités s’endettent à hauteur de 0,5 Md€ chacune.
INFORMATIONS RAPIDES No 254 - 2019-09-27
La dette trimestrielle étant fondée sur des sources comptables moins complètes que les comptes annuels, son profil demeure révisable pendant plusieurs trimestres.
Pour une période donnée, la variation de la dette ne permet pas de déduire le déficit public. Pour passer de la variation de la dette brute au sens de Maastricht au déficit, il faut tenir compte de la variation des actifs financiers et des passifs exclus du périmètre de la dette de Maastricht, dont les primes et décotes à l’émission. En outre, le déficit public trimestriel publié par l’Insee est corrigé des variations saisonnières et de l’effet des jours ouvrables, ce qui n’est pas le cas de la dette trimestrielle.
Les dettes des administrations publiques locales et de sécurité sociale diminuent
La contribution des administrations publiques locales (Apul) à la dette diminue de 0,3 Md€, traduisant le désendettement des départements (−0,8 Md€), des régions (−0,2 Md€), des communes (−0,1 Md€) et des syndicats d’administrations publiques locales (−0,1 Md€). À l’inverse, la Société du Grand Paris (SGP) et Île-de-France Mobilités s’endettent à hauteur de 0,5 Md€ chacune.
INFORMATIONS RAPIDES No 254 - 2019-09-27
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