Le Baromètre Qualitel-Ipsos réalisé par QUALITEL qui mesure les principales attentes des français vis-à-vis de leur logement, révèle des inégalités face au froid ressenti dans son logement.
Voici les facteurs qui expliquent cette disparité.
Facteur n° 1 : le niveau de revenus
Les Français aux revenus modestes - moins de 1250 € net mensuels - sont les plus exposés au froid :57 % d’entre eux déclarent avoir " parfois ou souvent" froid chez eux. C’est 18 points de plus que ceux bénéficiant de plus de 3 000 € net mensuels.
Au total, 20 % des personnes ayant un revenu modeste déclarent avoir " souvent froid" dans leur logement, soit 2,5 fois plus que les foyers disposant de 3 000 € net ou plus
La faible qualité du logement n’est pas seule en cause. Les Français disposant de revenus modestes maintiennent également sciemment une température basse chez eux, afin de limiter la facture énergétique…
Facteur n° 2 : l’ancienneté du logement
Plus le logement est ancien et plus la probabilité d’avoir froid est importante. 56 % des occupants de logements construits entre 1900 et 1945 déclarent avoir " parfois ou souvent froid" , contre 49 % pour ceux construits entre 1945 et 1980, 44 % entre 1980 et 2007 ; et " seulement" 37 % pour les logements de moins de 10 ans…
Facteur n° 3 : le statut de l’occupant
Les propriétaires occupants sont beaucoup moins exposés au froid. Ils sont même quatre fois moins nombreux que les locataires à déclarer avoir " souvent froid" dans leur logement (seulement 5 % vs 20 %)…
Qualitel - Février 2018
Voici les facteurs qui expliquent cette disparité.
Facteur n° 1 : le niveau de revenus
Les Français aux revenus modestes - moins de 1250 € net mensuels - sont les plus exposés au froid :57 % d’entre eux déclarent avoir " parfois ou souvent" froid chez eux. C’est 18 points de plus que ceux bénéficiant de plus de 3 000 € net mensuels.
Au total, 20 % des personnes ayant un revenu modeste déclarent avoir " souvent froid" dans leur logement, soit 2,5 fois plus que les foyers disposant de 3 000 € net ou plus
La faible qualité du logement n’est pas seule en cause. Les Français disposant de revenus modestes maintiennent également sciemment une température basse chez eux, afin de limiter la facture énergétique…
Facteur n° 2 : l’ancienneté du logement
Plus le logement est ancien et plus la probabilité d’avoir froid est importante. 56 % des occupants de logements construits entre 1900 et 1945 déclarent avoir " parfois ou souvent froid" , contre 49 % pour ceux construits entre 1945 et 1980, 44 % entre 1980 et 2007 ; et " seulement" 37 % pour les logements de moins de 10 ans…
Facteur n° 3 : le statut de l’occupant
Les propriétaires occupants sont beaucoup moins exposés au froid. Ils sont même quatre fois moins nombreux que les locataires à déclarer avoir " souvent froid" dans leur logement (seulement 5 % vs 20 %)…
Qualitel - Février 2018
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