
A un an des municipales, l’Association des maires de France lance des travaux pour valoriser l’engagement des élus locaux et susciter l’engagement des citoyens.
Lors de leur première réunion, ses représentants dressent un panorama en demi-teinte du mandat local, entravé par la bureaucratie, la contrainte financière, sur fond de « crise démocratique ». David Lisnard a dénoncé des lois sur le financement de la vie publique « laissées à une interprétation des juges, dont on peut estimer qu’elle ne peut pas être la plus favorable aux élus ».
Le compte à rebours est déjà lancé. Dans un an se tiendront les élections municipales. Alors que le dernier scrutin avait lieu dans des circonstances exceptionnelles, au début de la pandémie de covid-19, celui de 2026 devrait se tenir dans des conditions plus normales.
L’Association des maires de France, organe représentant les édiles des 35 000 communes françaises, se met en ordre de bataille pour les échéances qui s’annoncent. Le 1er avril, elle organisait une journée de travail dans ses locaux du VIIe arrondissement de Paris, intitulée « Municipales dans un an, s’engager maintenant ! ».
Au sommaire
- « Ce mandat est le plus complexe qu’on ait expérimenté »
- « Nous sommes dans le contexte d’une troublante remise en cause de la démocratie »
- « Comment être dans les clous des règles de financement de la vie publique, qui sont devenues maximalistes ? »
- « S’il y avait deux sous de bon sens au sommet de l’Etat, on s’appuierait sur les collectivités territoriales pour relancer la France »
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Lors de leur première réunion, ses représentants dressent un panorama en demi-teinte du mandat local, entravé par la bureaucratie, la contrainte financière, sur fond de « crise démocratique ». David Lisnard a dénoncé des lois sur le financement de la vie publique « laissées à une interprétation des juges, dont on peut estimer qu’elle ne peut pas être la plus favorable aux élus ».
Le compte à rebours est déjà lancé. Dans un an se tiendront les élections municipales. Alors que le dernier scrutin avait lieu dans des circonstances exceptionnelles, au début de la pandémie de covid-19, celui de 2026 devrait se tenir dans des conditions plus normales.
L’Association des maires de France, organe représentant les édiles des 35 000 communes françaises, se met en ordre de bataille pour les échéances qui s’annoncent. Le 1er avril, elle organisait une journée de travail dans ses locaux du VIIe arrondissement de Paris, intitulée « Municipales dans un an, s’engager maintenant ! ».
Au sommaire
- « Ce mandat est le plus complexe qu’on ait expérimenté »
- « Nous sommes dans le contexte d’une troublante remise en cause de la démocratie »
- « Comment être dans les clous des règles de financement de la vie publique, qui sont devenues maximalistes ? »
- « S’il y avait deux sous de bon sens au sommet de l’Etat, on s’appuierait sur les collectivités territoriales pour relancer la France »
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