Le 3e plan autisme : un bilan contrasté
Lancé le 2 mai 2013, le 3e plan autisme 2013-2017 a été doté de 205,5 millions d’euros composés à 95% de crédits médico-sociaux. 136 millions ont été affectés à la création de places en établissements.
Les principales orientations pour le 4e plan autisme
Le 3e plan s’achève en décembre 2017. Le 4e, dont les premières orientations ont été fixées par le Comité interministériel du 2 décembre 2016, débute en janvier 2018. Dans la continuité du 3e plan, la mission recommande la poursuite de l’impulsion nationale de la politique en matière d’autisme, de la mise en œuvre des mesures du plan par les agences régionales de santé ainsi que des actions de formation.
Afin que le plus grand nombre puisse bénéficier d’interventions adaptées et de constructions de parcours accompagnés sur l’ensemble des territoires, le 4e plan doit viser en particulier :
- une meilleure inclusion de l’autisme dans la politique générale du handicap, sans que la question de l’autisme soit disjointe des autres troubles cognitifs et comportementaux ;
- une insertion plus poussée de la politique de l’autisme dans la politique sanitaire et l’offre de soins ;
- une intervention médico-sociale au service de l’objectif d’une inclusion en milieu ordinaire qui privilégie le droit à l’éducation et aux apprentissages.
Vie Publique - 2017-05-15
Lancé le 2 mai 2013, le 3e plan autisme 2013-2017 a été doté de 205,5 millions d’euros composés à 95% de crédits médico-sociaux. 136 millions ont été affectés à la création de places en établissements.
Les principales orientations pour le 4e plan autisme
Le 3e plan s’achève en décembre 2017. Le 4e, dont les premières orientations ont été fixées par le Comité interministériel du 2 décembre 2016, débute en janvier 2018. Dans la continuité du 3e plan, la mission recommande la poursuite de l’impulsion nationale de la politique en matière d’autisme, de la mise en œuvre des mesures du plan par les agences régionales de santé ainsi que des actions de formation.
Afin que le plus grand nombre puisse bénéficier d’interventions adaptées et de constructions de parcours accompagnés sur l’ensemble des territoires, le 4e plan doit viser en particulier :
- une meilleure inclusion de l’autisme dans la politique générale du handicap, sans que la question de l’autisme soit disjointe des autres troubles cognitifs et comportementaux ;
- une insertion plus poussée de la politique de l’autisme dans la politique sanitaire et l’offre de soins ;
- une intervention médico-sociale au service de l’objectif d’une inclusion en milieu ordinaire qui privilégie le droit à l’éducation et aux apprentissages.
Vie Publique - 2017-05-15