En renouvelant le cycle de vie d’un bâtiment, le dispositif Seconde vie des logements locatifs sociaux génère de bien moindres émissions de carbone et mobilise moins de ressources naturelles que la démolition/ reconstruction, s’inscrivant dans la Stratégie nationale bas-carbone. La webconférence organisée par le Réseau des acteurs de l’habitat le 7 décembre a passé ce dispositif à la loupe.
Selon le travail effectué avec la Banque des Territoires sur le dispositif Seconde vie des logements locatifs sociaux, d’ici à 2050, le coût pour amener l’intégralité du parc social en étiquette A ou B est estimé à près de 300Md€.
Ce dispositif s’applique au patrimoine existant ancien dans le cadre d’une réhabilitation lourde à forte performance environnementale.
Les résidences éligibles doivent être conventionnées depuis au moins 40 ans. Le dispositif intègre des financements spécifiques et concerne les logements classés E, F et G qui représentent près d’1,3 million de logements sur les 5 millions que compte le parc social.
Au sommaire :
- Favoriser les réhabilitations
- Étiquette E éligible
- Attention aux exigences trop élevées
- Une opportunité de mixité sociale ?
USH - Note complète
Selon le travail effectué avec la Banque des Territoires sur le dispositif Seconde vie des logements locatifs sociaux, d’ici à 2050, le coût pour amener l’intégralité du parc social en étiquette A ou B est estimé à près de 300Md€.
Ce dispositif s’applique au patrimoine existant ancien dans le cadre d’une réhabilitation lourde à forte performance environnementale.
Les résidences éligibles doivent être conventionnées depuis au moins 40 ans. Le dispositif intègre des financements spécifiques et concerne les logements classés E, F et G qui représentent près d’1,3 million de logements sur les 5 millions que compte le parc social.
Au sommaire :
- Favoriser les réhabilitations
- Étiquette E éligible
- Attention aux exigences trop élevées
- Une opportunité de mixité sociale ?
USH - Note complète