Le chef de l'État a reçu les présidents des trois principales associations d'élus : régions, départements et communes.
"Nous avons dit que nous ne croyons pas au format du Conseil national de la refondation car nous pensons que c'est une grande messe d'affichage", a expliqué David Lisnard, le président de l'Association des maires de France
"Pour la première fois, il y a un changement radical"
" Il nous a notamment donné raison sur le constat de la crise civique que traverse notre système. On a eu une discussion franche et directe. Et il a acté qu'il fallait enfin une grande loi de décentralisation, qu'il fallait une stabilité financière, qu'on ne pouvait plus continuer à piller les communes, les collectivités territoriales", a-t-il poursuivi.
"On va saisir cette opportunité de faire valoir nos positions", avance David Lisnard. Emmanuel Macron pourra donc au moins compter sur les associations d'élus pour lancer son quinquennat, à défaut de pouvoir compter sur la présence des oppositions.
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"Nous avons dit que nous ne croyons pas au format du Conseil national de la refondation car nous pensons que c'est une grande messe d'affichage", a expliqué David Lisnard, le président de l'Association des maires de France
"Pour la première fois, il y a un changement radical"
" Il nous a notamment donné raison sur le constat de la crise civique que traverse notre système. On a eu une discussion franche et directe. Et il a acté qu'il fallait enfin une grande loi de décentralisation, qu'il fallait une stabilité financière, qu'on ne pouvait plus continuer à piller les communes, les collectivités territoriales", a-t-il poursuivi.
"On va saisir cette opportunité de faire valoir nos positions", avance David Lisnard. Emmanuel Macron pourra donc au moins compter sur les associations d'élus pour lancer son quinquennat, à défaut de pouvoir compter sur la présence des oppositions.
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