La planète brûle, mais la plupart des Français sont en petite laine. Tel est le paradoxe d’un été 2023 de tous les contrastes. Le mois de juillet est marqué, d’un côté, par des températures caniculaires sur le pourtour méditerranéen - ainsi que par des incendies spectaculaires en Sicile et en Grèce, amenant l’ONU à déclarer le début de « l’ère de l’ébullition mondiale » ; de l’autre, par un temps maussade, pluvieux, sur la moitié nord du pays.
Sur les réseaux sociaux, des sceptiques du changement climatique se sont même emparés du paradoxe pour ironiser sur ce que certains appellent une « canicule asymptomatique ».
Pourtant, ce contraste ne contredit pas les connaissances scientifiques ni ne minimise la gravité de la situation.
Au sommaire :
- Pourquoi les températures sont-elles si fraîches sur une partie de la France ?
- Pourquoi cette fraîcheur n’avait-elle pas été anticipée ?
- Le déplacement du courant-jet cet été est-il lié au dérèglement climatique ?
- Peut-on déjà parler d’été frais ?
- Les averses de juillet contredisent-elles les prévisions sur le réchauffement climatique ?
- Pourquoi les canicules dans le pourtour méditerranéen sont-elles remarquables ?
- A quoi se fier pour se rendre compte du réchauffement climatique ?
Le MondeArticle complet
Sur les réseaux sociaux, des sceptiques du changement climatique se sont même emparés du paradoxe pour ironiser sur ce que certains appellent une « canicule asymptomatique ».
Pourtant, ce contraste ne contredit pas les connaissances scientifiques ni ne minimise la gravité de la situation.
Au sommaire :
- Pourquoi les températures sont-elles si fraîches sur une partie de la France ?
- Pourquoi cette fraîcheur n’avait-elle pas été anticipée ?
- Le déplacement du courant-jet cet été est-il lié au dérèglement climatique ?
- Peut-on déjà parler d’été frais ?
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