Remplacer progressivement les forêts françaises par des plantations d’espèces censées être plus résilientes face au changement climatique. L’idée fait du chemin. Mais ce remède ne risque-t-il pas d’être pire que le mal ?
Certains éléments invitent en tout cas à la prudence, comme celui du manque de fiabilité des modèles qui sont utilisés pour justifier cette option. Ces derniers négligent notamment les capacités de résilience des arbres actuels ou encore la variabilité des réponses entre les arbres ou les stations où ils se trouvent. En tout cas, il est essentiel de questionner la pertinence générale d’une telle stratégie « ultra-interventionniste », que ce soit au niveau écologique ou économique.
Sommaire
- Des prédictions souvent très incertaines
- Mieux coordonner urgence d’action et temporalité des cycles forestiers
- Intervenir drastiquement, c’est annihiler toute chance de résilience naturelle
Source - The Conversation
Le sapin de Douglas dans les forêts françaises, entre succès et controverse
Source - The Conversation
Certains éléments invitent en tout cas à la prudence, comme celui du manque de fiabilité des modèles qui sont utilisés pour justifier cette option. Ces derniers négligent notamment les capacités de résilience des arbres actuels ou encore la variabilité des réponses entre les arbres ou les stations où ils se trouvent. En tout cas, il est essentiel de questionner la pertinence générale d’une telle stratégie « ultra-interventionniste », que ce soit au niveau écologique ou économique.
Sommaire
- Des prédictions souvent très incertaines
- Mieux coordonner urgence d’action et temporalité des cycles forestiers
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