
Les professionnels du social font face à une crise des vocations et à une pénurie de bras. Parmi ceux qui travaillent, certains partent, fatigués des conditions de travail, du salaire, et du manque de reconnaissance social.
Crise des vocations, grande difficulté de recrutement, multiplication des départs… La situation est critique, alertent les professionnels du travail social. 71 % des établissements du secteur sanitaire, social et médico-social privé à but non lucratif rencontrent des difficultés de recrutement et plus de 65 000 postes demeurent non pourvus, selon une étude réalisée en 2020 pour l’employeur Nexem.
Manque d’effectifs
- « Le précaire va accompagner le précaire»
- Un salaire qui n’évolue pas
- « Les personnes partent pour une raison éthique»
Absence de reconnaissance
L’absence de reconnaissance ou encore l’invisibilité de la profession est évoquée.
Certains acteurs du secteur ont constaté, paradoxalement, l’envie de reconversion dans le travail social depuis la crise sanitaire.
Un risque de non-assistance à personne en danger
En attendant, selon le président de la FAS, il faudrait, entre autres, s’attarder sur la revalorisation salariale, redonner des moyens, ou encore promouvoir les différents métiers.
« Si on ne résout pas le problème de l’attractivité des métiers, l’étape suivante ce sera la non-assistance à personne en danger : faute de personnel»
Ouest France >> Article complet
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Crise des vocations, grande difficulté de recrutement, multiplication des départs… La situation est critique, alertent les professionnels du travail social. 71 % des établissements du secteur sanitaire, social et médico-social privé à but non lucratif rencontrent des difficultés de recrutement et plus de 65 000 postes demeurent non pourvus, selon une étude réalisée en 2020 pour l’employeur Nexem.
Manque d’effectifs
- « Le précaire va accompagner le précaire»
- Un salaire qui n’évolue pas
- « Les personnes partent pour une raison éthique»
Absence de reconnaissance
L’absence de reconnaissance ou encore l’invisibilité de la profession est évoquée.
Certains acteurs du secteur ont constaté, paradoxalement, l’envie de reconversion dans le travail social depuis la crise sanitaire.
Un risque de non-assistance à personne en danger
En attendant, selon le président de la FAS, il faudrait, entre autres, s’attarder sur la revalorisation salariale, redonner des moyens, ou encore promouvoir les différents métiers.
« Si on ne résout pas le problème de l’attractivité des métiers, l’étape suivante ce sera la non-assistance à personne en danger : faute de personnel»
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