À partir d’exemples sur les bassins d’Adour-Garonne et de Loire-Bretagne, ce rapport d’enquête de Greenpeace France dresse un constat alarmant sur la gouvernance de l’eau en France.
Pour autant, il ne s’agit pas de transformer radicalement l’existant : la gestion de l’eau par bassin, l’existence des Agences de l’eau ainsi que d’instances locales de gouvernance sont autant de spécificités qui constituent des atouts pour la France.
Ainsi, les tentatives de certains représentants de l’État d’amoindrir l’indépendance de ces instances constituent un danger pour une gestion plurielle de l’eau.
Le rapport appelle à la mise en place de garde-fous au sein du système de gouvernance de l’eau pour rétablir un véritable équilibre démocratique.
Face à une crise hydrique grandissante, exacerbée par le changement climatique, il est impératif que la gestion de l’eau devienne un levier pour la transition écologique plutôt qu’un outil au service d’intérêts économiques minoritaires.
Greenpeace demande au gouvernement de prendre les mesures suivantes :
- Encadrer le risque de conflits d’intérêts
- Accroître la transparence et l’exemplarité dans ces instances locales de gouvernance
- Donner aux enjeux écologiques une place centrale dans la mission d’intérêt général des préfets
- Renforcer la pluralité et la représentativité des représentants agricoles
- Redonner les moyens d’agir aux agences et services de l’État
- Sanctionner les violences commises sur des militantes et militants écologistes
Source - Greenpeace
Pour autant, il ne s’agit pas de transformer radicalement l’existant : la gestion de l’eau par bassin, l’existence des Agences de l’eau ainsi que d’instances locales de gouvernance sont autant de spécificités qui constituent des atouts pour la France.
Ainsi, les tentatives de certains représentants de l’État d’amoindrir l’indépendance de ces instances constituent un danger pour une gestion plurielle de l’eau.
Le rapport appelle à la mise en place de garde-fous au sein du système de gouvernance de l’eau pour rétablir un véritable équilibre démocratique.
Face à une crise hydrique grandissante, exacerbée par le changement climatique, il est impératif que la gestion de l’eau devienne un levier pour la transition écologique plutôt qu’un outil au service d’intérêts économiques minoritaires.
Greenpeace demande au gouvernement de prendre les mesures suivantes :
- Encadrer le risque de conflits d’intérêts
- Accroître la transparence et l’exemplarité dans ces instances locales de gouvernance
- Donner aux enjeux écologiques une place centrale dans la mission d’intérêt général des préfets
- Renforcer la pluralité et la représentativité des représentants agricoles
- Redonner les moyens d’agir aux agences et services de l’État
- Sanctionner les violences commises sur des militantes et militants écologistes
Source - Greenpeace