À mi-mandat, les démissions d'élus locaux atteignent un niveau sans précédent. Sur l'ensemble du territoire français, 1 293 maires ont démissionné, a indiqué le gouvernement, le 5 avril.
Pourquoi une telle évolution ? Au-delà des situations personnelles, les raisons sont multiples et bien connues.
L'exécutif semble commencer à prendre la mesure de la gravité de la situation : lors de sa rencontre avec les associations d'élus, le 12 avril, la Première ministre a souhaité que "les moyens de valoriser l'engagement des élus et de mieux les protéger face aux violences trop fréquentes dont ils font l'objet" figurent parmi les principaux sujets de l'agenda territorial.
C'est un début et une reconnaissance des positions de l'AMF portées par son groupe de travail dédié. Pour redonner aux maires du pouvoir et des moyens d'agir, nous continuerons d'alerter et de proposer. L'enjeu est crucial : stopper l'hémorragie locale et retrouver la confiance civique.
AMF >> Communiqué complet
Pourquoi une telle évolution ? Au-delà des situations personnelles, les raisons sont multiples et bien connues.
L'exécutif semble commencer à prendre la mesure de la gravité de la situation : lors de sa rencontre avec les associations d'élus, le 12 avril, la Première ministre a souhaité que "les moyens de valoriser l'engagement des élus et de mieux les protéger face aux violences trop fréquentes dont ils font l'objet" figurent parmi les principaux sujets de l'agenda territorial.
C'est un début et une reconnaissance des positions de l'AMF portées par son groupe de travail dédié. Pour redonner aux maires du pouvoir et des moyens d'agir, nous continuerons d'alerter et de proposer. L'enjeu est crucial : stopper l'hémorragie locale et retrouver la confiance civique.
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