En juin dernier , les bactéries indicatrices de contamination fécale mesurées en Seine (Escherichia coli et entérocoques intestinaux) laissaient supposer la présence de pathogènes dans les eaux de surface susceptibles de poser des risques pour la santé des athlètes. La situation s’est améliorée début juillet à la faveur du beau temps
Face à ces pollutions, des mesures ne sont prises que quand les enjeux économiques et pour la société sont élevés, comme les épreuves de natation dans la Seine lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024. Mais les mesures prises sont essentiellement curatives.
Bien qu’utiles, elles ne prennent pas le problème à la source.
Sommaire
- Le tout-à-l’égout n’a rien d’une panacée
- L’histoire du traitement des eaux usées en France
- Un verrouillage sociotechnique
- Privilégier la « séparation à la source »
- Vers une filière sèche de gestion des excrétions humaines ?
Source - The Conversation
Face à ces pollutions, des mesures ne sont prises que quand les enjeux économiques et pour la société sont élevés, comme les épreuves de natation dans la Seine lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024. Mais les mesures prises sont essentiellement curatives.
Bien qu’utiles, elles ne prennent pas le problème à la source.
Sommaire
- Le tout-à-l’égout n’a rien d’une panacée
- L’histoire du traitement des eaux usées en France
- Un verrouillage sociotechnique
- Privilégier la « séparation à la source »
- Vers une filière sèche de gestion des excrétions humaines ?
Source - The Conversation