Que le lieu de résidence dessine pour chacun des univers de loisirs différents ne surprendra pas outre mesure. Mais pour les quinze pratiques étudiées, réparties en loisirs culturels, médiatiques et ordinaires, cet « effet territorial » est appréhendé de manière inédite par un croisement entre les résultats de l’enquête sur les pratiques culturelles et la nouvelle grille communale de densité de l’Insee.
Retour sur les principaux enseignements de l’étude « Loisirs des villes, loisirs des champs ? » , réalisée par Edwige Millery et Léa Garcia, respectivement chargée d’études et chargée d’études statistiques, au Département des études, de la prospective, des statistiques et de la documentation (DEPS) du ministère de la Culture. Entretien avec Edwige Millery.
- Quel est le principal enseignement de l’étude « Loisirs des villes, loisirs des champs ? »
- Un effet territorial dites-vous s’ajoute aux caractéristiques sociales mais dans une moindre mesure pour les cadres ou les jeunes diplômés.
- Quinze pratiques culturelles sont passées au crible, elles-mêmes répertoriées en trois catégories, loisirs culturels, médiatiques, et ordinaires. Comment avez-vous procédé ?
- Qu’en est-il des loisirs culturels ?
- En revanche, les festivals, qui sont autant prisé des habitants de la campagne que de la ville, semblent faire exception.
- L’étude met en évidence la densité remarquable du maillage des institutions culturelles sur le territoire.
- Cette densité en équipements culturels est-elle susceptible d’abolir la distinction entre habitants des villes et des campagnes ?
- S’agissant des loisirs médiatiques, la différence est frappante entre des populations plus âgées, qui plébiscitent la télévision et la radio, et des populations plus jeunes, qui plébiscitent le podcast.
- Qu’en est-il des loisirs ordinaires ?
Entretien complet
Retour sur les principaux enseignements de l’étude « Loisirs des villes, loisirs des champs ? » , réalisée par Edwige Millery et Léa Garcia, respectivement chargée d’études et chargée d’études statistiques, au Département des études, de la prospective, des statistiques et de la documentation (DEPS) du ministère de la Culture. Entretien avec Edwige Millery.
- Quel est le principal enseignement de l’étude « Loisirs des villes, loisirs des champs ? »
- Un effet territorial dites-vous s’ajoute aux caractéristiques sociales mais dans une moindre mesure pour les cadres ou les jeunes diplômés.
- Quinze pratiques culturelles sont passées au crible, elles-mêmes répertoriées en trois catégories, loisirs culturels, médiatiques, et ordinaires. Comment avez-vous procédé ?
- Qu’en est-il des loisirs culturels ?
- En revanche, les festivals, qui sont autant prisé des habitants de la campagne que de la ville, semblent faire exception.
- L’étude met en évidence la densité remarquable du maillage des institutions culturelles sur le territoire.
- Cette densité en équipements culturels est-elle susceptible d’abolir la distinction entre habitants des villes et des campagnes ?
- S’agissant des loisirs médiatiques, la différence est frappante entre des populations plus âgées, qui plébiscitent la télévision et la radio, et des populations plus jeunes, qui plébiscitent le podcast.
- Qu’en est-il des loisirs ordinaires ?
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