Les grands ensembles, forme emblématique de l’habitat social planifié et aménagé par l’État, se caractérisent par leur architecture de tours et de barres, la dimension des opérations et leur zone d’implantation. Si ce type de quartier semble doté d’une abondance d’espaces verts, certains le voient pourtant « comme un archétype de la ville repoussante ».
Appréhender la singularité de ces quartiers présents dans toutes les villes de France constitue un enjeu pour les collectivités. Le déficit, voire l’absence, dans des situations socialement défavorisées, des bienfaits du végétal et de la nature tels qu’ils ont été démontrés à l’échelle de la ville touche à la fois les humains, les équilibres naturels et l’économie. Il apparaît comme une forme d’inégalité environnementale s’ajoutant aux difficultés sociales, économiques ou de sécurité.
Certaines collectivités se posent la question : quelles interventions permettraient aux espaces verts de mieux contribuer à la qualité urbaine ?
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Appréhender la singularité de ces quartiers présents dans toutes les villes de France constitue un enjeu pour les collectivités. Le déficit, voire l’absence, dans des situations socialement défavorisées, des bienfaits du végétal et de la nature tels qu’ils ont été démontrés à l’échelle de la ville touche à la fois les humains, les équilibres naturels et l’économie. Il apparaît comme une forme d’inégalité environnementale s’ajoutant aux difficultés sociales, économiques ou de sécurité.
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