Depuis le 7 octobre, le maire de Nice Christian Estrosi maintient des drapeaux israéliens sur le fronton de sa mairie, en soutien à l’État hébreu. Une pratique devenue monnaie courante ces dernières années, alors qu’elle porte atteinte au principe de neutralité des services publics.
Ils promettent de revenir chaque soir à 20 heures. Depuis une semaine, une centaine de manifestants fait quotidiennement le pied de grue devant l’hôtel de ville de Nice pour exiger le retrait des drapeaux bleu et blanc, plantés par-dessus la balustrade du bâtiment ocre. Christian Estrosi les a fait installer au lendemain des attaques du 7 octobre. Il avait alors assuré qu’ils resteraient en place “tant qu’Israël n’aura pas gagné cette guerre”, donnant ainsi à son geste une portée politique.
Au sommaire
- principe de neutralité et domaine réservé
- “course contre la montre”
Les Surligneurs
Christian estrosi, Maire de nice : le drapeau israélien sur le fronton de la mairie y restera “jusqu’à la libération de tous les otages”
Les Surligneurs
Ils promettent de revenir chaque soir à 20 heures. Depuis une semaine, une centaine de manifestants fait quotidiennement le pied de grue devant l’hôtel de ville de Nice pour exiger le retrait des drapeaux bleu et blanc, plantés par-dessus la balustrade du bâtiment ocre. Christian Estrosi les a fait installer au lendemain des attaques du 7 octobre. Il avait alors assuré qu’ils resteraient en place “tant qu’Israël n’aura pas gagné cette guerre”, donnant ainsi à son geste une portée politique.
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