Seule association environnementale en France à avoir tenté de contribuer à la révision de ces deux normes, l’ANPCEN, à partir de de son observation des processus suivis pendant plusieurs années, et de l’analyse des contenus, déconseille leur utilisation, propose des solutions plus adaptées et s’oppose à leur citation comme référence dans les commandes publiques comme à leur homologation.
Les normes EN 13201 d’éclairage public (révisée) et XP-X90-013 sur les nuisances lumineuses (toujours en discussion) sont, à ce stade, deux occasions manquées d’apport d’innovations par la normalisation : elles n’apportent pas ou peu de progrès à la conception d’un éclairage adapté aux enjeux du XXIème siècle, ni à la prévention, limitation, suppression des nuisances lumineuses" ni à "des installations lumineuses exemplaires énergétiquement ET environnementalement", prévues par deux lois. Elles n’intègrent pas équitablement les objectifs environnementaux, contrairement aux objectifs que se donnent la France, l’Union européenne et le Comité Européen de Normalisation (CEN).
De plus, ces normes ne représentent ni consensus, ni simplification, ni les meilleures conceptions ou pratiques d’éclairage.
En conséquence, l’ANPCEN déconseille l'utilisation de ces normes, propose des solutions plus adaptées, s’oppose à la citation de ces normes comme "référence" dans les commandes publiques nationales ou locales et à leur homologation
ANPCEN - 2016-07-04
Les normes EN 13201 d’éclairage public (révisée) et XP-X90-013 sur les nuisances lumineuses (toujours en discussion) sont, à ce stade, deux occasions manquées d’apport d’innovations par la normalisation : elles n’apportent pas ou peu de progrès à la conception d’un éclairage adapté aux enjeux du XXIème siècle, ni à la prévention, limitation, suppression des nuisances lumineuses" ni à "des installations lumineuses exemplaires énergétiquement ET environnementalement", prévues par deux lois. Elles n’intègrent pas équitablement les objectifs environnementaux, contrairement aux objectifs que se donnent la France, l’Union européenne et le Comité Européen de Normalisation (CEN).
De plus, ces normes ne représentent ni consensus, ni simplification, ni les meilleures conceptions ou pratiques d’éclairage.
En conséquence, l’ANPCEN déconseille l'utilisation de ces normes, propose des solutions plus adaptées, s’oppose à la citation de ces normes comme "référence" dans les commandes publiques nationales ou locales et à leur homologation
ANPCEN - 2016-07-04