Le 6 octobre dernier, au moment où se faisaient sentir les premiers effets de la crise énergétique, le gouvernement dévoilait son plan de sobriété énergétique.
Avec un axe clair : ce plan de sobriété n’était pas seulement destiné à « passer l’hiver », mais devait s’inscrire « dans la durée », devenir « une nouvelle façon de penser et d’agir » : « Il en va de la transition écologique, déclarait la Première ministre en dévoilant ce plan, il en va de notre souveraineté, il en va de notre pouvoir d’achat. »
Logiquement, ce premier plan de sobriété doit donc avoir une suite, et un nouveau plan est en cours d’élaboration et devrait être présenté dans les prochains jours.
Pour participer à la construction de celui-ci, l’AMF a lancé le 23 mars dernier une enquête auprès de ses adhérents pour connaître leurs pratiques en la matière - mais aussi pour « mettre en avant des pistes peut-être non exploitées actuellement par les collectivités ».
Au sommaire :
- Plus de 90 % des répondants agissent sur la température des locaux
- Difficultés
AMF >> Note complète
Avec un axe clair : ce plan de sobriété n’était pas seulement destiné à « passer l’hiver », mais devait s’inscrire « dans la durée », devenir « une nouvelle façon de penser et d’agir » : « Il en va de la transition écologique, déclarait la Première ministre en dévoilant ce plan, il en va de notre souveraineté, il en va de notre pouvoir d’achat. »
Logiquement, ce premier plan de sobriété doit donc avoir une suite, et un nouveau plan est en cours d’élaboration et devrait être présenté dans les prochains jours.
Pour participer à la construction de celui-ci, l’AMF a lancé le 23 mars dernier une enquête auprès de ses adhérents pour connaître leurs pratiques en la matière - mais aussi pour « mettre en avant des pistes peut-être non exploitées actuellement par les collectivités ».
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