Suite à la dissolution de l’Assemblée nationale annoncée par Emmanuel Macron, de nouvelles élections législatives se tiendront les 30 juin et 7 juillet prochain.
Chaque circonscription élira alors l’un des 577 députés, dans un scrutin à deux tours.
De l’élection des délégués de classes à l’élection présidentielle, en passant par les décisions collectives d’une entreprise, nous nous sommes tous retrouvés face au problème qui consiste à agréger des volontés individuelles en une décision collective, tout en minimisant les mécontentements.
De manière quasi systématique, en France, nous utilisons le système de vote uninominal à deux tours. Mais ce scrutin permet-il d’agréger les préférences individuelles de manière convenable ?
Au sommaire :
- Quelques failles du scrutin uninominal à 2 tours
- Qu’est-ce qu’un « bon » système de vote ?
- Un bon système est-il possible ?
- Un espoir : l’intensité des préférences et jugement majoritaire
Source - The Conversation
Chaque circonscription élira alors l’un des 577 députés, dans un scrutin à deux tours.
De l’élection des délégués de classes à l’élection présidentielle, en passant par les décisions collectives d’une entreprise, nous nous sommes tous retrouvés face au problème qui consiste à agréger des volontés individuelles en une décision collective, tout en minimisant les mécontentements.
De manière quasi systématique, en France, nous utilisons le système de vote uninominal à deux tours. Mais ce scrutin permet-il d’agréger les préférences individuelles de manière convenable ?
Au sommaire :
- Quelques failles du scrutin uninominal à 2 tours
- Qu’est-ce qu’un « bon » système de vote ?
- Un bon système est-il possible ?
- Un espoir : l’intensité des préférences et jugement majoritaire
Source - The Conversation