En l’espace de quelques décennies, la poursuite d’études s’est généralisée en France, conduisant près de la moitié des femmes et un peu plus d’un tiers des hommes de 25 à 29 ans à être diplômés de l’enseignement supérieur.
Les sociologues Élie Guéraut et Fanny Jedlicki ont mis en évidence que les jeunes femmes tendent plus que les jeunes hommes à quitter leur lieu de résidence à l’issue du baccalauréat, mais également à y retourner une fois leurs études achevées. Ce phénomène apparaît d’autant plus marqué lorsqu’elles sont issues des classes populaires, et concerne en particulier les jeunes femmes originaires des espaces ruraux et des villes petites et moyennes.
Au sommaire :
- Une féminisation de l’émigration étudiante
- Et des retours qui concernent davantage les femmes
- Des choix d’orientation peu rentables sur le marché de l’emploi
- Les étudiantes issues des classes populaires ont plus de difficultés à se stabiliser dans les grandes villes
INED>> Etude complète
Les sociologues Élie Guéraut et Fanny Jedlicki ont mis en évidence que les jeunes femmes tendent plus que les jeunes hommes à quitter leur lieu de résidence à l’issue du baccalauréat, mais également à y retourner une fois leurs études achevées. Ce phénomène apparaît d’autant plus marqué lorsqu’elles sont issues des classes populaires, et concerne en particulier les jeunes femmes originaires des espaces ruraux et des villes petites et moyennes.
Au sommaire :
- Une féminisation de l’émigration étudiante
- Et des retours qui concernent davantage les femmes
- Des choix d’orientation peu rentables sur le marché de l’emploi
- Les étudiantes issues des classes populaires ont plus de difficultés à se stabiliser dans les grandes villes
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