Mesuré selon les revenus, le degré de ségrégation spatiale au sein d’une ville n’est lié ni à la taille, ni à la densité de sa population
Sommaire
- Les grandes villes ne sont pas nécessairement les villes où les disparités spatiales de revenus sont les plus fortes
- Les villes où les inégalités de revenus sont plus fortes sont en général moins homogènes
- L’inégale répartition des populations les plus modestes au sein des villes, mais aussi des plus aisées, contribuent le plus à la ségrégation spatiale
- Plus de la moitié de la superficie des villes est constituée de quartiers où les personnes les plus aisées sont surreprésentées
- Entre 2004 et 2019, les disparités spatiales selon le revenu augmentent dans une grande majorité de villes
- Tous les groupes de revenus vivent dans des quartiers de moins en moins mixtes, à l’exception des populations les plus modestes
- La mixité dans les quartiers prioritaires a diminué entre 2004 et 2019
INSEE >> Etude complète
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- Les grandes villes ne sont pas nécessairement les villes où les disparités spatiales de revenus sont les plus fortes
- Les villes où les inégalités de revenus sont plus fortes sont en général moins homogènes
- L’inégale répartition des populations les plus modestes au sein des villes, mais aussi des plus aisées, contribuent le plus à la ségrégation spatiale
- Plus de la moitié de la superficie des villes est constituée de quartiers où les personnes les plus aisées sont surreprésentées
- Entre 2004 et 2019, les disparités spatiales selon le revenu augmentent dans une grande majorité de villes
- Tous les groupes de revenus vivent dans des quartiers de moins en moins mixtes, à l’exception des populations les plus modestes
- La mixité dans les quartiers prioritaires a diminué entre 2004 et 2019
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