Ces dernières années, nos villes ont largement reverdi grâce à diverses initiatives telles que la plantation d'arbres, la création de trames vertes, de zones humides, de jardins partagés et de toitures végétalisées. Toutefois, cette végétalisation comporte des contreparties. La production de pollens et de molécules volatiles allergisantes par les plantes peut nuire à la santé.
De plus, les espaces verts attirent des vertébrés, des insectes et des acariens, susceptibles de véhiculer des agents infectieux nuisibles aux humains, aux plantes et aux animaux. La connectivité des zones végétalisées facilite la circulation de ces hôtes indésirables.
Il est donc crucial de prendre en compte ces facteurs dans la planification, la gestion et l'utilisation des espaces verts urbains.
Sommaire
- Pourquoi végétaliser les villes ?
- Des liens entre risques vectoriels et espaces verts
- Des corridors écologiques qui favorisent la pénétration des vecteurs
- Des risques qui ne concernent pas uniquement l’être humain
Source - The Conversation
De plus, les espaces verts attirent des vertébrés, des insectes et des acariens, susceptibles de véhiculer des agents infectieux nuisibles aux humains, aux plantes et aux animaux. La connectivité des zones végétalisées facilite la circulation de ces hôtes indésirables.
Il est donc crucial de prendre en compte ces facteurs dans la planification, la gestion et l'utilisation des espaces verts urbains.
Sommaire
- Pourquoi végétaliser les villes ?
- Des liens entre risques vectoriels et espaces verts
- Des corridors écologiques qui favorisent la pénétration des vecteurs
- Des risques qui ne concernent pas uniquement l’être humain
Source - The Conversation