Force est de constater que depuis de nombreuses années, les réseaux sociaux dominants, dont le modèle d’affaires repose sur l’économie de l’attention favorise structurellement le clash et la polarisation des opinions.
Selon ce modèle économique, il s’agit de « maximiser l’engagement » des utilisateurs afin de vendre leur « temps de cerveau » et leurs données personnelles à des entreprises susceptibles de les cibler avec leurs publicités. Dès lors, tout ce qui compte pour gagner en visibilité sur ce type de réseau, est de trouver la ligne de fracture - chez chaque utilisateur ou dans la société - et d’enfoncer le coin, afin d’obtenir plus de clics et plus de vues, alimentant ainsi le « business de la haine » des géants du numérique, qui tirent profit de cette cacophonie.
Au sommaire :
- Faire évoluer le modèle économique et l’architecture des réseaux sociaux
- Reprendre la main sur les algorithmes
- Reconnaître les réseaux sociaux comme des espaces publics
- Œuvrer pour des infrastructures numériques démocratiques
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Selon ce modèle économique, il s’agit de « maximiser l’engagement » des utilisateurs afin de vendre leur « temps de cerveau » et leurs données personnelles à des entreprises susceptibles de les cibler avec leurs publicités. Dès lors, tout ce qui compte pour gagner en visibilité sur ce type de réseau, est de trouver la ligne de fracture - chez chaque utilisateur ou dans la société - et d’enfoncer le coin, afin d’obtenir plus de clics et plus de vues, alimentant ainsi le « business de la haine » des géants du numérique, qui tirent profit de cette cacophonie.
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- Faire évoluer le modèle économique et l’architecture des réseaux sociaux
- Reprendre la main sur les algorithmes
- Reconnaître les réseaux sociaux comme des espaces publics
- Œuvrer pour des infrastructures numériques démocratiques
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