Dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 octobre, nous reculerons d’une heure nos montres, après les avoir avancées au mois de mars dernier. Des pratiques, mises en place en France en 1976 et progressivement dans le reste de l’Union européenne, qui font pourtant l’objet d’une remise en question depuis 2018.
Après avoir suscité beaucoup d’enthousiasme au niveau européen, le projet semble aujourd’hui dans l’impasse. Dès le mois de mars 2019, le Parlement européen avait pourtant adopté sa position sur le sujet. Depuis, les parlementaires attendent — en vain — que le Conseil de l’UE, réunissant les ministres des Etats membres, fasse de même.
Au sommaire :
- Quand cette mesure devait-elle s’appliquer ?
- Pourquoi la proposition a-t-elle pris du retard ?
- Quelles seraient les implications de la fin du changement d’heure ?
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Après avoir suscité beaucoup d’enthousiasme au niveau européen, le projet semble aujourd’hui dans l’impasse. Dès le mois de mars 2019, le Parlement européen avait pourtant adopté sa position sur le sujet. Depuis, les parlementaires attendent — en vain — que le Conseil de l’UE, réunissant les ministres des Etats membres, fasse de même.
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- Quand cette mesure devait-elle s’appliquer ?
- Pourquoi la proposition a-t-elle pris du retard ?
- Quelles seraient les implications de la fin du changement d’heure ?
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