Une consultation du Sénat, ayant reçu plus de 50 000 réponses révèle un rejet sans appel des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) par 86% des particuliers et 79% des professionnels. Seulement 8% des habitants de communes rurales sont favorables au dispositif contre 23 % de ceux résidant au centre-ville d’une métropole.
Par ailleurs, près de la moitié des Français pointent une « mise en œuvre trop rapide des restrictions de circulation ». Le principal obstacle à l’acceptabilité est le coût jugé trop élevé des véhicules propres. Au-delà de la quarantaine d’auditions effectuées, la mission d’information sénatoriale sur les ZFE-m tiendra compte de ces résultats dans son rapport qu’elle doit remettre mi-juin.
Au sommaire :
- Un rejet massif
- Fractures territoriales
- Creusement des inégalités sociales
- Coût trop élevé des véhicules propres
- Desserrer les délais
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Par ailleurs, près de la moitié des Français pointent une « mise en œuvre trop rapide des restrictions de circulation ». Le principal obstacle à l’acceptabilité est le coût jugé trop élevé des véhicules propres. Au-delà de la quarantaine d’auditions effectuées, la mission d’information sénatoriale sur les ZFE-m tiendra compte de ces résultats dans son rapport qu’elle doit remettre mi-juin.
Au sommaire :
- Un rejet massif
- Fractures territoriales
- Creusement des inégalités sociales
- Coût trop élevé des véhicules propres
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