Et si l’on profitait de la chaleur du sous-sol dans le métro pour chauffer des logements par géothermie ? C’est ce que fait la métropole de Rennes : lors de la construction de la ligne B du métro, celle-ci a décidé d’équiper d’échangeurs géothermiques les parois moulées et radiers des stations Sainte-Anne, Jules Ferry, Saint-Germain et Cleunay.
Une première en France - et même au monde, au vu de la surface équipée - qui permet aujourd’hui de chauffer 112 logements et 1 000 mètres carrés de bureau . Le potentiel des échangeurs déjà en place permettrait même d’en chauffer davantage.
Cette solution avantageuse tant au plan économique qu’environnemental reste pourtant, aujourd’hui encore, sous-exploitée. Des retours d’expérience tels que celui de la métropole de Rennes seront donc précieux pour ouvrir la voie.
Au sommaire :
- Géostructures énergétiques, mode d’emploi
- Le métro, un cas d’usage intéressant
- De la construction au contrôle, des freins organisationnels à dépasser
- Une technologie qui pourrait aussi équiper tunnels et parkings
- Lutter contre l’effet îlot de chaleur urbain
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Une première en France - et même au monde, au vu de la surface équipée - qui permet aujourd’hui de chauffer 112 logements et 1 000 mètres carrés de bureau . Le potentiel des échangeurs déjà en place permettrait même d’en chauffer davantage.
Cette solution avantageuse tant au plan économique qu’environnemental reste pourtant, aujourd’hui encore, sous-exploitée. Des retours d’expérience tels que celui de la métropole de Rennes seront donc précieux pour ouvrir la voie.
Au sommaire :
- Géostructures énergétiques, mode d’emploi
- Le métro, un cas d’usage intéressant
- De la construction au contrôle, des freins organisationnels à dépasser
- Une technologie qui pourrait aussi équiper tunnels et parkings
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