Tous les salariés du secteur de l’aide à domicile du secteur associatif, dont l’employeur est adhérent de la branche de l’aide à domicile, sont bénéficiaires de cette revalorisation, quels que soient leur diplôme et l’emploi occupé.
L’avenant de la convention collective a été signé par les principales fédérations du secteur (ADMR, UNA, ADEDOM). Il s’agit de 210 000 salariés concernés.
Un mécanisme d’extension est prévu.
A combien s’élève la hausse de rémunération ?
Les salariés de la branche de l’aide à domicile percevront en moyenne une revalorisation de 15 %.
Comment est calculée cette augmentation ?
Une nouvelle classification des emplois et des compétences a été négociée avec les partenaires sociaux.
Depuis quand cette revalorisation est-elle en vigueur ?
Cette revalorisation est en vigueur depuis le 1er octobre 2021.
Qui finance cette revalorisation ?
Dans le cadre d’une application de cet avenant, au 1er octobre prochain, le surcoût pour les départements s’élèverait à 75 millions d’euros en 2021, compensé par l’État à hauteur de 70 %, par l’intermédiaire de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), soit un coût résiduel pour les départements de 22 millions d’euros. À partir de 2022, l’État couvrira 50 % de la dépense supplémentaire.
Ministère des Solidarités et de la Sante >> Communiqué complet
L’avenant de la convention collective a été signé par les principales fédérations du secteur (ADMR, UNA, ADEDOM). Il s’agit de 210 000 salariés concernés.
Un mécanisme d’extension est prévu.
A combien s’élève la hausse de rémunération ?
Les salariés de la branche de l’aide à domicile percevront en moyenne une revalorisation de 15 %.
Comment est calculée cette augmentation ?
Une nouvelle classification des emplois et des compétences a été négociée avec les partenaires sociaux.
Depuis quand cette revalorisation est-elle en vigueur ?
Cette revalorisation est en vigueur depuis le 1er octobre 2021.
Qui finance cette revalorisation ?
Dans le cadre d’une application de cet avenant, au 1er octobre prochain, le surcoût pour les départements s’élèverait à 75 millions d’euros en 2021, compensé par l’État à hauteur de 70 %, par l’intermédiaire de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), soit un coût résiduel pour les départements de 22 millions d’euros. À partir de 2022, l’État couvrira 50 % de la dépense supplémentaire.
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