Les jeunes issus de la protection de l’enfance sont confrontés à davantage de difficultés pour accéder à l’autonomie comparés à l’ensemble de la jeunesse. Les carences affectives et l’absence de soutien familial rendent leur entrée dans l’âge adulte plus difficile.
Alors que l’âge général de la décohabitation pour la jeunesse est en recul et atteint 23,6 ans, les jeunes de l’ASE doivent, quant à eux, se débrouiller seuls, une fois l’âge de 18 ans atteint. Le caractère facultatif donné à l’accompagnement de ces jeunes par les départements après l’âge de 18 ans a été contesté par de nombreux acteurs de la protection de l’enfance.
C’est ainsi que la loi Taquet du 7 février 2022 est venue opérer un revirement dans la législation en rendant obligatoire la prise en charge des majeurs âgés de moins de 21 ans ne bénéficiant ni de ressources ni de soutien familial suffisant lorsqu’ils ont été confiés à l’ASE avant leur majorité.
Au sommaire :
- Les problématiques rencontrées dans l’accompagnement des jeunes majeurs et les pistes d’amélioration proposées par le rapport
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Alors que l’âge général de la décohabitation pour la jeunesse est en recul et atteint 23,6 ans, les jeunes de l’ASE doivent, quant à eux, se débrouiller seuls, une fois l’âge de 18 ans atteint. Le caractère facultatif donné à l’accompagnement de ces jeunes par les départements après l’âge de 18 ans a été contesté par de nombreux acteurs de la protection de l’enfance.
C’est ainsi que la loi Taquet du 7 février 2022 est venue opérer un revirement dans la législation en rendant obligatoire la prise en charge des majeurs âgés de moins de 21 ans ne bénéficiant ni de ressources ni de soutien familial suffisant lorsqu’ils ont été confiés à l’ASE avant leur majorité.
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