
Depuis son adoption en 2021, l’objectif de limiter puis de compenser l’artificialisation des sols en France à l’horizon 2050 est sujet à de vifs débats. Jugé inatteignable par certains tandis que d’autres y voient l’opportunité de changer radicalement notre manière d’aménager, le ZAN est encore aujourd’hui une politique controversée et incertaine.
Deux ans après l’adoption de la loi, cet article n’aspire pas à décortiquer les détails de la réforme opérée par le ZAN, d’autant que les changements sont nombreux, mais plutôt à analyser les réactions qu’elle a suscitées ainsi que son devenir.
Pour l’heure, ces réactions concordent avec la façon dont l’ensemble des textes visant à protéger d’une manière ou d’une autre les sols ont été reçus par le monde politique. Car rappelons-le, le ZAN s’inscrit dans le cadre de la construction d’une politique publique plus large dont l’objectif est de préserver les sols, pour eux-mêmes et pour leur fonction.
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Deux ans après l’adoption de la loi, cet article n’aspire pas à décortiquer les détails de la réforme opérée par le ZAN, d’autant que les changements sont nombreux, mais plutôt à analyser les réactions qu’elle a suscitées ainsi que son devenir.
Pour l’heure, ces réactions concordent avec la façon dont l’ensemble des textes visant à protéger d’une manière ou d’une autre les sols ont été reçus par le monde politique. Car rappelons-le, le ZAN s’inscrit dans le cadre de la construction d’une politique publique plus large dont l’objectif est de préserver les sols, pour eux-mêmes et pour leur fonction.
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