Sauf transformation radicale des usages, les prélèvements en eau et plus encore les consommations - soit la part évapotranspirée du prélèvement -, devraient fortement croître entre 2020 et 2050.
Due pour l’essentiel à la hausse de la demande en eau d’irrigation, l’augmentation des consommations devrait se concentrer en période printanière et estivale. On tente ici de confronter cette demande théorique aux ressources projetées en 2050.
L’objectif est d’identifier, à l’échelle de la France découpée en quarante bassins versants, les périodes de l’année où des tensions sur la ressource en eau de surface pourraient apparaître, c’est-à-dire lorsque les besoins environnementaux ou la demande humaine en eau ne seraient pas satisfaits.
Source - Haut-commissariat à la stratégie et au plan
Due pour l’essentiel à la hausse de la demande en eau d’irrigation, l’augmentation des consommations devrait se concentrer en période printanière et estivale. On tente ici de confronter cette demande théorique aux ressources projetées en 2050.
L’objectif est d’identifier, à l’échelle de la France découpée en quarante bassins versants, les périodes de l’année où des tensions sur la ressource en eau de surface pourraient apparaître, c’est-à-dire lorsque les besoins environnementaux ou la demande humaine en eau ne seraient pas satisfaits.
Source - Haut-commissariat à la stratégie et au plan