Il est de plus en plus rare de voir des enfants se promener seuls dans l’espace public en raison d’un urbanisme peu adapté à leurs besoins . Leur absence, voire leur rejet de certains espaces, est une réalité désormais reconnue.
En témoigne la « une » du quotidien Libération du 19 février 2024 affichant le titre Moi, mioche et gênant, ou encore l’article du quotidien Le Monde mettant en lumière la prolifération des lieux « no kids » .
L’idée d’une ville pensée « à hauteur d’enfants » représente donc une perspective radicalement différente. Cette ambition, partagée par un nombre croissant de métropoles, s’efforce de répondre à divers enjeux urbains, notamment ceux liés à la mobilité et au vivre-ensemble. Comment caractériser cette approche novatrice qui pourrait façonner la ville de demain ?
Au sommaire :
- Les défis de la ville à hauteur d’enfant
- Une ambition politique
- Une approche éducative, inclusive et écologique
>> Article complet
En témoigne la « une » du quotidien Libération du 19 février 2024 affichant le titre Moi, mioche et gênant, ou encore l’article du quotidien Le Monde mettant en lumière la prolifération des lieux « no kids » .
L’idée d’une ville pensée « à hauteur d’enfants » représente donc une perspective radicalement différente. Cette ambition, partagée par un nombre croissant de métropoles, s’efforce de répondre à divers enjeux urbains, notamment ceux liés à la mobilité et au vivre-ensemble. Comment caractériser cette approche novatrice qui pourrait façonner la ville de demain ?
Au sommaire :
- Les défis de la ville à hauteur d’enfant
- Une ambition politique
- Une approche éducative, inclusive et écologique
>> Article complet