La qualité de l’air s’est considérablement améliorée en Europe au cours des dernières décennies, mais la pollution atmosphérique demeure le plus grand risque écologique pour la santé en Europe et dans le monde. Selon l’analyse des données relatives à la qualité de l’air pour 2022 et 2023 menée par l’Agence européenne pour l’environnement (AEE), publiée aujourd’hui, la qualité de l’air en Europe continue de s’améliorer, mais la pollution reste supérieure aux seuils sans risque recommandés dans de nombreux lieux, notamment dans les villes.
Dans sa note d’information intitulée «Europe’s air quality status 2024 (L’État de la qualité de l’air en Europe en 2024) », l’AEE présente des données sur les niveaux des principaux polluants atmosphériques en Europe en 2022 et 2023 et compare ces concentrations aux normes de qualité de l’air de l’UE et aux seuils de référence pour la santé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le plan d’action «zéro pollution» du pacte vert pour l’Europe fixe pour 2030 un objectif de réduction d’au moins 55 % des décès prématurés causés par les particules fines, par rapport aux niveaux de 2005, et un objectif à long terme d’absence d’incidences significatives sur la santé d’ici 2050.
Source - EEA
Dans sa note d’information intitulée «Europe’s air quality status 2024 (L’État de la qualité de l’air en Europe en 2024) », l’AEE présente des données sur les niveaux des principaux polluants atmosphériques en Europe en 2022 et 2023 et compare ces concentrations aux normes de qualité de l’air de l’UE et aux seuils de référence pour la santé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le plan d’action «zéro pollution» du pacte vert pour l’Europe fixe pour 2030 un objectif de réduction d’au moins 55 % des décès prématurés causés par les particules fines, par rapport aux niveaux de 2005, et un objectif à long terme d’absence d’incidences significatives sur la santé d’ici 2050.
Source - EEA