La pollution aux PFAS (substances per - et polyfluoroalkylées, dont certaines sont considérées comme cancérogènes) présente aujourd’hui de réels enjeux sanitaires et environnementaux. Début avril, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi visant à mieux protéger la population contre ces substances.
Au-delà de l’enjeu réglementaire, il subsiste un certain nombre de verrous scientifiques, technologiques et industriels à lever avant de pouvoir apporter des solutions durables au problème.
À commencer par l’inventaire exhaustif des PFAS produits et leurs usages, mais également la dégradation de ces composés dans l’environnement qui peut conduire à la formation de nouveaux PFAS… Ainsi, il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais potentiellement jusqu’à plusieurs millions de molécules différentes.
Au sommaire :
- Des composés omniprésents
- Des applications multiples
- Comment les PFAS polluent les nappes phréatiques et les écosystèmes lointains
- Difficultés à légiférer et inconnues scientifiques
- La surveillance des PFAS dans les eaux douces
- De la difficulté à suivre tous les PFAS
- Un défi pour les laboratoires d’analyse
Source - The Conversation
Au-delà de l’enjeu réglementaire, il subsiste un certain nombre de verrous scientifiques, technologiques et industriels à lever avant de pouvoir apporter des solutions durables au problème.
À commencer par l’inventaire exhaustif des PFAS produits et leurs usages, mais également la dégradation de ces composés dans l’environnement qui peut conduire à la formation de nouveaux PFAS… Ainsi, il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais potentiellement jusqu’à plusieurs millions de molécules différentes.
Au sommaire :
- Des composés omniprésents
- Des applications multiples
- Comment les PFAS polluent les nappes phréatiques et les écosystèmes lointains
- Difficultés à légiférer et inconnues scientifiques
- La surveillance des PFAS dans les eaux douces
- De la difficulté à suivre tous les PFAS
- Un défi pour les laboratoires d’analyse
Source - The Conversation