À l’ère du Green Deal, l’Europe a adopté les « Cleantech 2.0 », avec des investissements records et de nouveaux projets. Pourtant, en 2024, un bilan s’impose. Le ralentissement de la demande dans des secteurs tels que les pompes à chaleur et les voitures électriques, la surcapacité industrielle chinoise et les subventions attrayantes accordées aux États-Unis et au Canada font que les technologies propres européennes peinent à être compétitives.
Les fermetures d’entreprises, les licenciements et les projets bloqués - dont l’effondrement très médiatisé du fabricant suédois de batteries Northvolt - ont ébranlé le secteur. La loi européenne Net Zero Industry Act et le futur Clean Industrial Deal visent à soutenir la fabrication de technologies propres, mais il ne suffit pas de rattraper le retard.
Pour s’imposer au niveau mondial, l’UE doit se concentrer sur la prochaine vague, notamment sur les nouvelles compositions chimiques des batteries et sur les énergies renouvelables de nouvelle génération - les « Cleantech 3.0 ».
Source - I4CE
Les fermetures d’entreprises, les licenciements et les projets bloqués - dont l’effondrement très médiatisé du fabricant suédois de batteries Northvolt - ont ébranlé le secteur. La loi européenne Net Zero Industry Act et le futur Clean Industrial Deal visent à soutenir la fabrication de technologies propres, mais il ne suffit pas de rattraper le retard.
Pour s’imposer au niveau mondial, l’UE doit se concentrer sur la prochaine vague, notamment sur les nouvelles compositions chimiques des batteries et sur les énergies renouvelables de nouvelle génération - les « Cleantech 3.0 ».
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