Face à des comportements de mobilité en pleine évolution, la Fnaut a souhaité mettre en place avec l’IFOP une étude robuste et précise afin de mieux connaître et comprendre les attentes des voyageurs et non voyageurs en matière de transports ferroviaires. Ceci dans une optique d’asseoir son expertise pour mieux défendre les voyageurs.
Seul un Français sur deux a utilisé le train au cours des 12 derniers mois
Le vrai potentiel de développement pour le train se situe avant tout sur les déplacements de 100 à 300 km les plus pratiqués en voiture par les Français. Pourtant aujourd’hui, le train est perçu comme une alternative à la voiture surtout pour les distances entre 300 et 500 km (notamment en termes de rapidité, possibilité de faire autre chose pendant le trajet…)., puis est devancé par l’avion au-delà de 500km.
75% des Non-Utilisateurs du train ont le sentiment de privilégier (souvent ou systématiquement) un autre moyen de transport alors qu’il leur serait possible d’utiliser le train sur ces trajets de plus de 100 km.
L’accès aux gares est également un frein majeur :
77% des Français pensent qu’il est difficile de stationner sa voiture à la gare pour prendre ensuite le train (pas de parking ou parkings trop chers)
66% des Français pensent qu’il est difficile de garer son vélo à la gare de manière sécurisée
62% des Français pensent qu’il n’est pas agréable de se rendre à la gare à pied
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Les principales attentes des utilisateurs du train se concentrent sur le prix et la qualité de l’offre.
Le prix constitue le principal frein à l’usage du train, 53% des Français placent ce critère dans le TOP 5 des critères les plus importants lorsqu’ils considèrent un mode de transport, mais seulement 34% sont d’accord pour dire que le train est un mode de transport bon marché.
FNAUT Communiqué complet
Etude réalisée online sur système CAWI (Computer Assisted Interview) via panel.
La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas suivi d’un redressement sur le sexe, l’âge, la profession, la région et la catégorie d’agglomération. Terrain réalisé du 03 au 16 avril 2024. Interrogation de 2 003 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus.
Seul un Français sur deux a utilisé le train au cours des 12 derniers mois
Le vrai potentiel de développement pour le train se situe avant tout sur les déplacements de 100 à 300 km les plus pratiqués en voiture par les Français. Pourtant aujourd’hui, le train est perçu comme une alternative à la voiture surtout pour les distances entre 300 et 500 km (notamment en termes de rapidité, possibilité de faire autre chose pendant le trajet…)., puis est devancé par l’avion au-delà de 500km.
75% des Non-Utilisateurs du train ont le sentiment de privilégier (souvent ou systématiquement) un autre moyen de transport alors qu’il leur serait possible d’utiliser le train sur ces trajets de plus de 100 km.
L’accès aux gares est également un frein majeur :
77% des Français pensent qu’il est difficile de stationner sa voiture à la gare pour prendre ensuite le train (pas de parking ou parkings trop chers)
66% des Français pensent qu’il est difficile de garer son vélo à la gare de manière sécurisée
62% des Français pensent qu’il n’est pas agréable de se rendre à la gare à pied
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Les principales attentes des utilisateurs du train se concentrent sur le prix et la qualité de l’offre.
Le prix constitue le principal frein à l’usage du train, 53% des Français placent ce critère dans le TOP 5 des critères les plus importants lorsqu’ils considèrent un mode de transport, mais seulement 34% sont d’accord pour dire que le train est un mode de transport bon marché.
FNAUT Communiqué complet
Etude réalisée online sur système CAWI (Computer Assisted Interview) via panel.
La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas suivi d’un redressement sur le sexe, l’âge, la profession, la région et la catégorie d’agglomération. Terrain réalisé du 03 au 16 avril 2024. Interrogation de 2 003 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus.