Trois techniques d’approches observées
- Dans un premier cas, l’offre n’est pas conforme aux attentes et n’occasionne aucune retombée financière ou publicitaire mais le consentement est recueilli de manière régulière avec des clauses de contrat claires et lisibles.
- La deuxième technique consiste à envoyer un bon de commande après un démarchage téléphonique proposant une "offre exceptionnelle à saisir" avec des paiements échelonnés. Les clauses importantes sont absentes.
- La troisième tactique est d’envoyer par publipostage un document ressemblant à un document officiel (facture, RSI, RCS, Info-Siret, etc.). Le professionnel n’ayant pas le temps de vérifier, signe en toute confiance et s’engage pour un montant élevé, sur une commande ferme d’insertion dans un annuaire.
Quelle que soit la méthode employée, une fois la signature du professionnel obtenue, les responsables des sociétés harcèlent leurs victimes pour obtenir le paiement des sommes dues. Il arrive que les créances soient revendues à un établissement bancaire pour accentuer la pression sur le professionnel.
DGCCRF - 2016-05-03
- Dans un premier cas, l’offre n’est pas conforme aux attentes et n’occasionne aucune retombée financière ou publicitaire mais le consentement est recueilli de manière régulière avec des clauses de contrat claires et lisibles.
- La deuxième technique consiste à envoyer un bon de commande après un démarchage téléphonique proposant une "offre exceptionnelle à saisir" avec des paiements échelonnés. Les clauses importantes sont absentes.
- La troisième tactique est d’envoyer par publipostage un document ressemblant à un document officiel (facture, RSI, RCS, Info-Siret, etc.). Le professionnel n’ayant pas le temps de vérifier, signe en toute confiance et s’engage pour un montant élevé, sur une commande ferme d’insertion dans un annuaire.
Quelle que soit la méthode employée, une fois la signature du professionnel obtenue, les responsables des sociétés harcèlent leurs victimes pour obtenir le paiement des sommes dues. Il arrive que les créances soient revendues à un établissement bancaire pour accentuer la pression sur le professionnel.
DGCCRF - 2016-05-03