Prévue pour octobre 2024, la transposition de la directive NIS 2 dans le droit français a pour ambition de renforcer le niveau de protection et de résilience du pays. Elle cherche également à sensibiliser l'ensemble des acteurs, qu'ils soient privés ou publics, à l'importance de la cybersécurité en tant que priorité nationale
Sous l'égide de la Belle Alliance, les associations d'élus se mobilisent pour assurer une transposition efficace et durable. Elles collaborent avec le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale ainsi que l'ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information) pour adapter les obligations à chaque niveau de collectivité et pour garantir une mise en œuvre progressive de la nouvelle législation.
La directive souligne la nécessité d'un accompagnement réaliste des collectivités, étape par étape, pour se conformer aux nouvelles exigences techniques. Elle appelle à une allocation adéquate de ressources financières et humaines, compte tenu de la pénurie de compétences spécialisées en cybersécurité.
Les CSIRTs régionaux (Centres de réponses à incidents cyber), établis après la première directive NIS, jouent un rôle crucial. Leur financement, qui arrive à échéance en 2024, nécessite une extension pour soutenir les écosystèmes cyber régionaux. La directive encourage également l'établissement d'une gouvernance claire et d'une méthode de travail commune entre l'État et les collectivités pour une amélioration continue des compétences en cybersécurité.
Dans un esprit de collaboration, les associations d'élus envisagent de présenter leurs propositions pour enrichir la préparation du projet de loi et les débats à l'Assemblée nationale, soulignant l'importance d'une transposition qui respecte les capacités des collectivités tout en accélérant leur montée en compétence en matière de cybersécurité.
AMF /Belle alliance - Note complète
Sous l'égide de la Belle Alliance, les associations d'élus se mobilisent pour assurer une transposition efficace et durable. Elles collaborent avec le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale ainsi que l'ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information) pour adapter les obligations à chaque niveau de collectivité et pour garantir une mise en œuvre progressive de la nouvelle législation.
La directive souligne la nécessité d'un accompagnement réaliste des collectivités, étape par étape, pour se conformer aux nouvelles exigences techniques. Elle appelle à une allocation adéquate de ressources financières et humaines, compte tenu de la pénurie de compétences spécialisées en cybersécurité.
Les CSIRTs régionaux (Centres de réponses à incidents cyber), établis après la première directive NIS, jouent un rôle crucial. Leur financement, qui arrive à échéance en 2024, nécessite une extension pour soutenir les écosystèmes cyber régionaux. La directive encourage également l'établissement d'une gouvernance claire et d'une méthode de travail commune entre l'État et les collectivités pour une amélioration continue des compétences en cybersécurité.
Dans un esprit de collaboration, les associations d'élus envisagent de présenter leurs propositions pour enrichir la préparation du projet de loi et les débats à l'Assemblée nationale, soulignant l'importance d'une transposition qui respecte les capacités des collectivités tout en accélérant leur montée en compétence en matière de cybersécurité.
AMF /Belle alliance - Note complète