Les acteurs de la mobilité sont particulièrement attentifs aux dispositions suivantes :
- Couverture du territoire national à 100 % par des AOM ;
- Ouverture des données transports et confirmation de leur propriété, pour les services qui en relèvent, aux AOM ;
- Intégration d’une programmation financière des investissements en infrastructures permettant de financer la remise à flot des infrastructures du quotidien, leur adaptation aux défis du XXIème siècle, ainsi que la préservation du maillage ferroviaire, conformément aux attentes de nombreuses parties prenantes dont les partenaires des États Généraux de la Mobilité Durable ;
- Développement des mobilités partagées avec coordination de toutes les mobilités par les AOM ;
- Développement de l’usage du vélo dont la part modale n’est que de 3 % dans notre pays à comparer avec une moyenne européenne de 13 % ;
- Sanctuarisation du Versement Transport qui deviendra le versement mobilité ;
- Facilitation des expérimentations en matière de nouvelles mobilités ce qui permettra, notamment, de développer la filière française du véhicule autonome.
Au terme de cet échange, les élus et parties prenantes présentes ont tenu à réaffirmer leur soutien à une grande partie des mesures incluses dans le projet de loi, lequel devrait constituer l’évolution législative la plus significative pour les mobilités depuis la LOTI de 1982. Ils ont proposé à la Ministre, qui l’a accepté, de réunir régulièrement un comité de suivi de la mise en œuvre de la Loi lorsqu’elle aura été adoptée.
Associations d’élus - Communiqué de presse commun - 2018-05-30
- Couverture du territoire national à 100 % par des AOM ;
- Ouverture des données transports et confirmation de leur propriété, pour les services qui en relèvent, aux AOM ;
- Intégration d’une programmation financière des investissements en infrastructures permettant de financer la remise à flot des infrastructures du quotidien, leur adaptation aux défis du XXIème siècle, ainsi que la préservation du maillage ferroviaire, conformément aux attentes de nombreuses parties prenantes dont les partenaires des États Généraux de la Mobilité Durable ;
- Développement des mobilités partagées avec coordination de toutes les mobilités par les AOM ;
- Développement de l’usage du vélo dont la part modale n’est que de 3 % dans notre pays à comparer avec une moyenne européenne de 13 % ;
- Sanctuarisation du Versement Transport qui deviendra le versement mobilité ;
- Facilitation des expérimentations en matière de nouvelles mobilités ce qui permettra, notamment, de développer la filière française du véhicule autonome.
Au terme de cet échange, les élus et parties prenantes présentes ont tenu à réaffirmer leur soutien à une grande partie des mesures incluses dans le projet de loi, lequel devrait constituer l’évolution législative la plus significative pour les mobilités depuis la LOTI de 1982. Ils ont proposé à la Ministre, qui l’a accepté, de réunir régulièrement un comité de suivi de la mise en œuvre de la Loi lorsqu’elle aura été adoptée.
Associations d’élus - Communiqué de presse commun - 2018-05-30
Dans la même rubrique
-
Actu - Géothermie et transports, un potentiel inexploité ? L’exemple du métro de Rennes
-
Actu - L’intermodalité, une solution pour demain ?
-
Actu - Le développement du titre de transport dématérialisé avec la FNAUT
-
Actu - Trottinettes électriques : un vélo pour les jeunes ?
-
Actu - Le Cerema partenaire du projet AWARD : des solutions pour déployer la conduite autonome sur des véhicules dédiés à la logistique