En 2021, l’Association des usagers des transports (AUT) d’Ile-de- France avait dressé ses propres statistiques et estimait en outre que les autobus passaient 39 % du temps à l’arrêt, soit pour respecter les feux de circulation, soit du fait de difficultés de circulation. En conséquence, rien d’étonnant à ce que la fréquentation des bus ait plongé de 29 % entre 2019 et 2023.
La fuite des usagers a d’abord été imputée au manque de conducteurs, mais ce point s’est nettement amélioré depuis le début de l’année 2024 grâce au plan de recrutement de la RATP et le trafic de voyageurs est reparti à la hausse.
En revanche, note la régie, « les pertes externes restent à un niveau élevé », c’est-à-dire les ralentissements pour cause d’embouteillage, de déviation et d’aménagements de voiries ayant parfois trop donné la priorité au vélo.
Source - FNAUT
Article paru dans Le Monde, rédigé par Hélène Bekmezian
La fuite des usagers a d’abord été imputée au manque de conducteurs, mais ce point s’est nettement amélioré depuis le début de l’année 2024 grâce au plan de recrutement de la RATP et le trafic de voyageurs est reparti à la hausse.
En revanche, note la régie, « les pertes externes restent à un niveau élevé », c’est-à-dire les ralentissements pour cause d’embouteillage, de déviation et d’aménagements de voiries ayant parfois trop donné la priorité au vélo.
Source - FNAUT
Article paru dans Le Monde, rédigé par Hélène Bekmezian