
Pour une même période de 30 minutes, les usagers de différents types de transports lorsqu’ils se déplacent inhalent plus de 2 fois la dose de carbone suie qu’ils inhalent lorsqu’ils sont à un lieu (résidence, travail, autre).
Une équipe de scientifiques encadrée par Basile Chaix, directeur de recherche Inserm, au sein de l’Institut Pierre Louis d’épidémiologie et de santé publique (Inserm/Sorbonne Université), s’est intéressée à l’impact de ces paramètres dans l’exposition au carbone suie, un polluant aérien produit par le trafic routier.
Dans des travaux publiés dans Environment International , l’équipe de recherche compare différents modes de transports et montre que, bien que la marche à pied et le vélo exposent l’usager à une concentration en carbone suie très inférieure à celle des transports motorisés (en commun ou privatifs), l’augmentation de la ventilation due à l’activité physique entraîne l’inhalation de quantités plus importantes de ce polluant.
INSERM >> Etude complète
Une équipe de scientifiques encadrée par Basile Chaix, directeur de recherche Inserm, au sein de l’Institut Pierre Louis d’épidémiologie et de santé publique (Inserm/Sorbonne Université), s’est intéressée à l’impact de ces paramètres dans l’exposition au carbone suie, un polluant aérien produit par le trafic routier.
Dans des travaux publiés dans Environment International , l’équipe de recherche compare différents modes de transports et montre que, bien que la marche à pied et le vélo exposent l’usager à une concentration en carbone suie très inférieure à celle des transports motorisés (en commun ou privatifs), l’augmentation de la ventilation due à l’activité physique entraîne l’inhalation de quantités plus importantes de ce polluant.
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