22 % des jeunes diplômés du supérieur qui travaillent sont en CDD ou en intérim, contre 47 % des jeunes sortis de l’école sans diplôme. La précarité de l’emploi des jeunes adultes dépend fortement de leur niveau de diplôme.
Les trajectoires des jeunes sont très différentes selon leur niveau de diplôme. Au milieu des années 1980, les différences demeuraient contenues : 13 % des jeunes diplômés du supérieur étaient concernés par la précarité à leur entrée sur le marché du travail, contre 19 % de ceux qui avaient un niveau de fin de troisième.
Ces jeunes appartenaient encore à un univers commun. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui, avec des taux qui vont du simple au double : respectivement 22 % et 47 %.
Depuis 2015 néanmoins, la précarité du travail des jeunes récemment sortis de l’école diminue. Le mouvement est net pour les moins diplômés, dont la part en emploi précaire a baissé de 66 % à 47 %. Cette proportion reste extrêmement élevée, mais l’écart s’est réduit par rapport à la moyenne des jeunes. Toute la question est de savoir combien de temps va durer cette amélioration.
OBS des Inégalités >> Etude complète
Les trajectoires des jeunes sont très différentes selon leur niveau de diplôme. Au milieu des années 1980, les différences demeuraient contenues : 13 % des jeunes diplômés du supérieur étaient concernés par la précarité à leur entrée sur le marché du travail, contre 19 % de ceux qui avaient un niveau de fin de troisième.
Ces jeunes appartenaient encore à un univers commun. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui, avec des taux qui vont du simple au double : respectivement 22 % et 47 %.
Depuis 2015 néanmoins, la précarité du travail des jeunes récemment sortis de l’école diminue. Le mouvement est net pour les moins diplômés, dont la part en emploi précaire a baissé de 66 % à 47 %. Cette proportion reste extrêmement élevée, mais l’écart s’est réduit par rapport à la moyenne des jeunes. Toute la question est de savoir combien de temps va durer cette amélioration.
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