L’âge de la « jeunesse » a émergé, dès les années 1970, pour désigner une période intermédiaire, fondée sur l’expérimentation de soi et des autres, à travers de nouveaux modes de vie.
Dès lors se pose la question du soutien à apporter à celles et ceux qui abordent cette transition, car les fragilités qu’elle induit ne relèvent pas de la seule responsabilité des familles, ni ne dépendent du seul marché de l’emploi. Comment les politiques publiques s’emparent-elles de ce nouvel âge ? Comment accompagnent-elles le passage vers l’âge adulte des nouvelles générations ? C’est la question qui fonde l’ouvrage collectif publié dernièrement, sous la direction de Tom Chevalier et Patricia Loncle, Une jeunesse sacrifiée ?, PUF, collection La vie des idées, 2021.
Au sommaire
- Des jeunes plus exposés à la précarité aujourd’hui qu’hier
- Une massification scolaire qui accentue les inégalités intragénérationnelles
- Un allongement de la formation initiale, mais pas nécessairement de meilleurs emplois
- Au rayon discount, une politique de massification… sans moyen supplémentaire
- Pour les plus précaires, refuser l’infantilisation, c’est ignorer les aides publiques ?
- Des politiques sociales « familialisées » qui déresponsabilisent les jeunes…
- … et des politiques publiques à l’initiative d’emplois de faible qualité
- Il reste la colère. Heureusement ?
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Dès lors se pose la question du soutien à apporter à celles et ceux qui abordent cette transition, car les fragilités qu’elle induit ne relèvent pas de la seule responsabilité des familles, ni ne dépendent du seul marché de l’emploi. Comment les politiques publiques s’emparent-elles de ce nouvel âge ? Comment accompagnent-elles le passage vers l’âge adulte des nouvelles générations ? C’est la question qui fonde l’ouvrage collectif publié dernièrement, sous la direction de Tom Chevalier et Patricia Loncle, Une jeunesse sacrifiée ?, PUF, collection La vie des idées, 2021.
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- Des jeunes plus exposés à la précarité aujourd’hui qu’hier
- Une massification scolaire qui accentue les inégalités intragénérationnelles
- Un allongement de la formation initiale, mais pas nécessairement de meilleurs emplois
- Au rayon discount, une politique de massification… sans moyen supplémentaire
- Pour les plus précaires, refuser l’infantilisation, c’est ignorer les aides publiques ?
- Des politiques sociales « familialisées » qui déresponsabilisent les jeunes…
- … et des politiques publiques à l’initiative d’emplois de faible qualité
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