Les dernières élections municipales ont rebattu les cartes et nombre d’opérations de logements ont été retardés, voire tout bonnement annulés. Alors, le slogan "maire bâtisseur, maire battu", lancé dans les années 70 par le maire de Créteil, Pierre Billotte, prendrait-il ici tout son sens ?
RP - Le Moniteur/Frédérique Vergne - 2014-11-21