La secrétaire d’État à la Famille, des Personnes âgées et de l’Autonomie a déclenché la colère des médecins correspondants. Lors des 12e assises nationales, qui viennent de se tenir à Paris, Laurence Rossignol a annoncé son intention "d’étudier les conditions dans lesquelles les médecins coordonnateurs pourraient prescrire, dans la recherche d’une prise en charge plus adéquate et adaptée" au-delà des simples situations d’urgences ou de risques vitaux.
La secrétaire d’État a également suggéré que le médecin coordonnateur devienne "le référent et l’interlocuteur de ses confrères à l’hôpital" en matière de télémédecine. Ces propos ont ulcéré le Syndicat des médecins coordonnateurs en EHPAD (SMC-EHPAD, branche de la CSMF), qui s’oppose à l’extension du pouvoir de prescription des coordonnateurs, mais aussi le Syndicat national des généralistes et gériatres intervenant en EHPAD (affilié à MG France) et le syndicat national de gérontologie clinique (SNGC)…
RP - Le quotidien du médecin - 2014-12-03
La secrétaire d’État a également suggéré que le médecin coordonnateur devienne "le référent et l’interlocuteur de ses confrères à l’hôpital" en matière de télémédecine. Ces propos ont ulcéré le Syndicat des médecins coordonnateurs en EHPAD (SMC-EHPAD, branche de la CSMF), qui s’oppose à l’extension du pouvoir de prescription des coordonnateurs, mais aussi le Syndicat national des généralistes et gériatres intervenant en EHPAD (affilié à MG France) et le syndicat national de gérontologie clinique (SNGC)…
RP - Le quotidien du médecin - 2014-12-03