Les dépenses publiques pour réduire la mortalité doivent-elles tenir compte de l’âge ?
Dit autrement, pour un budget donné doit-on chercher à sauver le plus grand nombre de vies possibles, sans opérer de distinction d’âge parmi elles, ou sauver le plus grand nombre d’années de vie possibles en privilégiant la population qui bénéficie d’une espérance de vie plus longue car plus jeune ?
La question est vivement débattue chez les économistes. Elle y prend la forme d’un choix de l’emploi de la valeur d’une vie humaine uniforme ou de la valeur d’une année de vie humaine, deux notions qui peuvent être mises en regard des dépenses publiques pour évaluer leur pertinence et les comparer. Nous préconisons de compter selon les années de vie gagnées - donc selon l’âge - lorsque les aléas frappent avant tout les personnes âgées.
Au sommaire :
- Quelle est la « valeur statistique d’une vie » ?
- Trois millions d’euros en moyenne pour une vie sauvée en plus
- Fair innings
- Courbe en U renversé
The Conversation >> Article complet
Dit autrement, pour un budget donné doit-on chercher à sauver le plus grand nombre de vies possibles, sans opérer de distinction d’âge parmi elles, ou sauver le plus grand nombre d’années de vie possibles en privilégiant la population qui bénéficie d’une espérance de vie plus longue car plus jeune ?
La question est vivement débattue chez les économistes. Elle y prend la forme d’un choix de l’emploi de la valeur d’une vie humaine uniforme ou de la valeur d’une année de vie humaine, deux notions qui peuvent être mises en regard des dépenses publiques pour évaluer leur pertinence et les comparer. Nous préconisons de compter selon les années de vie gagnées - donc selon l’âge - lorsque les aléas frappent avant tout les personnes âgées.
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- Quelle est la « valeur statistique d’une vie » ?
- Trois millions d’euros en moyenne pour une vie sauvée en plus
- Fair innings
- Courbe en U renversé
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