Et si, au-delà de la litanie habituelle des chiffres-clés flatteurs et des argumentaires standards, la puissance de l’attractivité d’un territoire se forgeait par la « vraie vie d’ici » ? Notamment via les pratiques sociales et autres rituels partagés par toute une communauté ? Et si leur partage dessinait la promesse la plus crédible pour l’intégration des nouveaux venus ?
Dans son article « Marketing territorial : passer de l’attractivité à l’attachement », Marc Thébault, consultant en attractivité territoriale et communication publique, proposait que l’on complète les « faire venir », « faire rester » et « faire revenir » par le « faire s’attacher ». Objectif : pérenniser à long terme les nouveaux venus sur un territoire.
Mais comment façonner une expérience de territoire attachante à partir de ses atouts matériels, mais surtout immatériels ?
Au sommaire :
- Des « pratiques et rituels sociaux », qu’est-ce que c’est ?
- À quoi servent les rituels ?
- Vers une tentative de typologie
- Trois remarques qui découlent de cette typologie
- Et maintenant, on fait quoi ?
Source Cap’Com
Dans son article « Marketing territorial : passer de l’attractivité à l’attachement », Marc Thébault, consultant en attractivité territoriale et communication publique, proposait que l’on complète les « faire venir », « faire rester » et « faire revenir » par le « faire s’attacher ». Objectif : pérenniser à long terme les nouveaux venus sur un territoire.
Mais comment façonner une expérience de territoire attachante à partir de ses atouts matériels, mais surtout immatériels ?
Au sommaire :
- Des « pratiques et rituels sociaux », qu’est-ce que c’est ?
- À quoi servent les rituels ?
- Vers une tentative de typologie
- Trois remarques qui découlent de cette typologie
- Et maintenant, on fait quoi ?
Source Cap’Com