Le 10 mars dernier, le gouvernement a présenté le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC - 3) après l’étude de 6 000 contributions. Des actions concrètes sont indispensables pour préparer une France à +4° en 2100, tant pour réduire les émissions de gaz à effet de serre que pour intégrer les enjeux d’adaptation dans l’ensemble des politiques publiques.
Une trajectoire pensée autour de la planification publique et des financements
Le PNACC-3 souhaite stopper les financements des investissements non ou mal adaptés et réorienter les flux financiers vers des investissements d’adaptation et de résilience.
Une attention particulière est accordée aux Outre-mer, qui concentrent des risques climatiques importants. La mobilisation des moyens locaux et nationaux doit être renforcée, et une organisation dédiée mise en place.
Plusieurs mesures du PNACC-3 concernent directement les collectivités, notamment :
- l’information, la prévention et la formation
- le fléchage des financements publics
- l’évaluation de l’impact des investissements publics locaux
- la résilience des infrastructures
- l’accompagnement au changement
L’AFL, la banque des collectivités locales pour financer l’adaptation
L’enjeu est de prendre conscience que le coût collectif de l’inaction est bien supérieur à celui d’un investissement dans la résilience, mais qu’il est aussi utile de « calibrer les curseurs territoriaux » pour éviter le sur investissement ou le sous-investissement.
Toutefois, le chantier s’avère complexe pour les collectivités, premier investisseur public, dans un contexte budgétaire particulièrement contraint.
Source - AFL
Une trajectoire pensée autour de la planification publique et des financements
Le PNACC-3 souhaite stopper les financements des investissements non ou mal adaptés et réorienter les flux financiers vers des investissements d’adaptation et de résilience.
Une attention particulière est accordée aux Outre-mer, qui concentrent des risques climatiques importants. La mobilisation des moyens locaux et nationaux doit être renforcée, et une organisation dédiée mise en place.
Plusieurs mesures du PNACC-3 concernent directement les collectivités, notamment :
- l’information, la prévention et la formation
- le fléchage des financements publics
- l’évaluation de l’impact des investissements publics locaux
- la résilience des infrastructures
- l’accompagnement au changement
L’AFL, la banque des collectivités locales pour financer l’adaptation
L’enjeu est de prendre conscience que le coût collectif de l’inaction est bien supérieur à celui d’un investissement dans la résilience, mais qu’il est aussi utile de « calibrer les curseurs territoriaux » pour éviter le sur investissement ou le sous-investissement.
Toutefois, le chantier s’avère complexe pour les collectivités, premier investisseur public, dans un contexte budgétaire particulièrement contraint.
Source - AFL