
Les douze métropoles testées dans ce baromètre intéressent bon nombre d’entreprises et de salariés en vue d’une implantation. D’ailleurs, la mobilité potentielle est beaucoup plus forte qu’on ne le croit : 74% des salariés seraient prêts à s’installer dans une autre métropole.
Bordeaux, et plus globalement les métropoles du sud de la Loire sont celles qui sont perçues comme les plus attractives tant par les salariés que les entreprises.
La qualité de vie et l’environnement sont les principaux critères de sélection d’une métropole par les salariés comme les entreprises.
Les entreprises ajoutent à ces dimensions le « dynamisme économique » perçu des métropoles…
En réalité, toutes les métropoles ont leur carte à jouer pour séduire entreprises et salariés que ce soit en termes de filières ou en termes de critères de performance
ODOXA >> Etude complète
Bordeaux, et plus globalement les métropoles du sud de la Loire sont celles qui sont perçues comme les plus attractives tant par les salariés que les entreprises.
La qualité de vie et l’environnement sont les principaux critères de sélection d’une métropole par les salariés comme les entreprises.
Les entreprises ajoutent à ces dimensions le « dynamisme économique » perçu des métropoles…
En réalité, toutes les métropoles ont leur carte à jouer pour séduire entreprises et salariés que ce soit en termes de filières ou en termes de critères de performance
ODOXA >> Etude complète
Dans la même rubrique
-
Actu - La Région Grand Est et la Caisse des Dépôts se mobilisent pour l’insertion professionnelle des demandeurs d’emploi de plus de 55 ans
-
JORF - Réforme de la répartition des fonds de la formation professionnelle : impacts sur les régions et le CNFPT
-
JORF - Financement des transitions professionnelles : nouvelles règles de répartition et de plafonnement pour les CPIR
-
Doc - L’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » : un dispositif utile localement mais couteux
-
Doc - L’effet de la parentalité sur le taux d’activité des mères immigrées et descendantes d’immigrées ne dépend pas de leur opinion sur les inégalités de genre sur le marché du travail