Ipsos et Comerso révèlent que les grandes surfaces alimentaires ont intégré - deux ans après la mise en place de la loi Garot - les pratiques anti-gaspillage dans leur stratégie et dans la gestion du cycle de vie de leurs produits. Des difficultés subsistent cependant pour certaines enseignes. Faute de temps, de moyens ou d’expertise, ces acteurs de la distribution n‘hésitent pas à s’appuyer sur un écosystème de partenaires spécialisés pour progresser.
Une loi qui a transformé les pratiques et dynamisé les engagements durables
L’étude Ipsos commandée par Comerso révèle que 63% des acteurs de ce marché avaient déjà mis en place des actions anti-gaspillage avant la Loi Garot. Néanmoins, 35% d’entre eux déclarent que cette loi les a incités à prendre des initiatives et à aller plus loin dans les dispositifs…
Le don aux associations : une pratique généralisée et désormais institutionnalisée
93% des magasins pratiquent le don aux associations et interagissent en moyenne avec 2,1 associations. 45% d’entre eux sont collectés chaque jour et 64% donnent depuis plus de 3 ans.
La majorité des acteurs de la grande distribution (94%) met en avant la dimension sociale du don (en externe et en interne). Une grande partie d’entre eux (79%) s’est investie dans cette démarche pour des raisons financières (économie fiscale et coût de traitement des déchets). Date limite de fraîcheur oblige, le rayon frais est le premier concerné par ces dons (96%), l’alimentaire ambiant vient ensuite (92%) puis les fruits et légumes (79%).
En matière de logistique, 84% des denrées sont collectées par les associations elles-mêmes et 16% par des sociétés externes.
Une fréquence de collecte qui reste perfectible
55% des magasins ne donnent pas tous les jours et 20% des collectes se fait sans camion frigorifique. 27% ne donnent qu’une partie des produits frais et uniquement 33% des produits frais métiers.
Par ailleurs, 26% des magasins ne savent pas si leurs associations sont agrées RIG ou RUP et la même proportion trouve compliqué de récupérer des attestations fiscales ou ne les récupèrent pas. Enfin, les magasins qui n’effectuent pas de dons évoquent l’argument de la responsabilité en cas de problème sanitaire, administratif et fiscal. Le développement d’un écosystème de partenaires spécialisés et certifiés constitue une voie pour assurer aux non donateurs une prestation clef en main et totalement sécurisée, et apporter aux faibles donateurs des solutions d’optimisation et de sécurisation.
IPSOS - 2018-02-20
Une loi qui a transformé les pratiques et dynamisé les engagements durables
L’étude Ipsos commandée par Comerso révèle que 63% des acteurs de ce marché avaient déjà mis en place des actions anti-gaspillage avant la Loi Garot. Néanmoins, 35% d’entre eux déclarent que cette loi les a incités à prendre des initiatives et à aller plus loin dans les dispositifs…
Le don aux associations : une pratique généralisée et désormais institutionnalisée
93% des magasins pratiquent le don aux associations et interagissent en moyenne avec 2,1 associations. 45% d’entre eux sont collectés chaque jour et 64% donnent depuis plus de 3 ans.
La majorité des acteurs de la grande distribution (94%) met en avant la dimension sociale du don (en externe et en interne). Une grande partie d’entre eux (79%) s’est investie dans cette démarche pour des raisons financières (économie fiscale et coût de traitement des déchets). Date limite de fraîcheur oblige, le rayon frais est le premier concerné par ces dons (96%), l’alimentaire ambiant vient ensuite (92%) puis les fruits et légumes (79%).
En matière de logistique, 84% des denrées sont collectées par les associations elles-mêmes et 16% par des sociétés externes.
Une fréquence de collecte qui reste perfectible
55% des magasins ne donnent pas tous les jours et 20% des collectes se fait sans camion frigorifique. 27% ne donnent qu’une partie des produits frais et uniquement 33% des produits frais métiers.
Par ailleurs, 26% des magasins ne savent pas si leurs associations sont agrées RIG ou RUP et la même proportion trouve compliqué de récupérer des attestations fiscales ou ne les récupèrent pas. Enfin, les magasins qui n’effectuent pas de dons évoquent l’argument de la responsabilité en cas de problème sanitaire, administratif et fiscal. Le développement d’un écosystème de partenaires spécialisés et certifiés constitue une voie pour assurer aux non donateurs une prestation clef en main et totalement sécurisée, et apporter aux faibles donateurs des solutions d’optimisation et de sécurisation.
IPSOS - 2018-02-20