UMAY, l'application mobile de référence en France contre le harcèlement de rue, va ainsi labelliser 3 200 gendarmeries et 600 commissariats de police mais aussi 700 magasins du groupe Monoprix en tant que safe places.
Edito de la ministre déléguée Marlène Schiappa
La loi du 3 août 2018 renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes a créé l'incrimination de « l'outrage sexiste ». En quatre ans, grâce à leur mobilisation, les forces de sécurité intérieure ont relevé près de 5 000 infractions pour outrage sexiste. Ce sont 5 000 occasions de protéger les femmes et de leur permettre de se sentir davantage en sécurité dans l'espace public…
…La loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (LOPMI) permettra d'augmenter significativement le montant de l'amende pour outrage sexiste et de doubler la présence policière dans les transports en commun, aux horaires où les agressions sont les plus constatées.
L'objectif de ce « baromètre du harcèlement de rue » est clair : mesurer l'ampleur du phénomène, analyser les chiffres et adapter nos mesures.
Données chiffrées et analyse - Source : SSMSI
Même si le nombre de plaintes enregistrées ou de procès-verbaux électroniques dressés pour outrages sexistes progresse, il faut rappeler que ce type d'infractions donne très rarement lieu à un signalement auprès des services de sécurité. L'enquête Cadre de vie et sécurité (CVS) permet en effet d'estimer, sur la période 2011-2018, que seules 2 % des victimes d'injures sexistes et 5 % des victimes d'injures anti-LGBT portent plainte.
Ministère de l’Intérieur >> Communiqué complet
Edito de la ministre déléguée Marlène Schiappa
La loi du 3 août 2018 renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes a créé l'incrimination de « l'outrage sexiste ». En quatre ans, grâce à leur mobilisation, les forces de sécurité intérieure ont relevé près de 5 000 infractions pour outrage sexiste. Ce sont 5 000 occasions de protéger les femmes et de leur permettre de se sentir davantage en sécurité dans l'espace public…
…La loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (LOPMI) permettra d'augmenter significativement le montant de l'amende pour outrage sexiste et de doubler la présence policière dans les transports en commun, aux horaires où les agressions sont les plus constatées.
L'objectif de ce « baromètre du harcèlement de rue » est clair : mesurer l'ampleur du phénomène, analyser les chiffres et adapter nos mesures.
Données chiffrées et analyse - Source : SSMSI
Même si le nombre de plaintes enregistrées ou de procès-verbaux électroniques dressés pour outrages sexistes progresse, il faut rappeler que ce type d'infractions donne très rarement lieu à un signalement auprès des services de sécurité. L'enquête Cadre de vie et sécurité (CVS) permet en effet d'estimer, sur la période 2011-2018, que seules 2 % des victimes d'injures sexistes et 5 % des victimes d'injures anti-LGBT portent plainte.
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