Malgré cette place importante de la marche dans nos vies, le piéton demeure un angle mort des politiques de mobilité. En nous confinant dans un rayon d’un kilomètre autour de chez nous et en vidant les rues des automobilistes, la pandémie de Covid-19 a mis en lumière ce déséquilibre entre la place conférée à la voiture dans la conception de l’espace public et celle réservée aux mobilités dites « actives » (marche, vélo…).
En réaction à ce besoin de redistribution des espaces publics, des stratégies d’« urbanisme tactique » ont proposé des aménagements temporaires qui se sont parfois pérennisés pour montrer qu’il était possible de grignoter de l’espace à la voiture pour donner plus de place à d’autres usages, à la nature, à la vie sociale et au bien-être des citadins.
Mais si cet épisode a eu un effet très bénéfique pour la pratique du vélo , il n’en a pas été de même pour la marche.
Au sommaire :
- Les piétons, parents pauvres des politiques de mobilité
- Pas qu’un sujet de grandes villes
- Le piéton comme point d’entrée
- Une ville plus désirable
- Une ville plus inclusive
The Conversation - Article complet
En réaction à ce besoin de redistribution des espaces publics, des stratégies d’« urbanisme tactique » ont proposé des aménagements temporaires qui se sont parfois pérennisés pour montrer qu’il était possible de grignoter de l’espace à la voiture pour donner plus de place à d’autres usages, à la nature, à la vie sociale et au bien-être des citadins.
Mais si cet épisode a eu un effet très bénéfique pour la pratique du vélo , il n’en a pas été de même pour la marche.
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- Les piétons, parents pauvres des politiques de mobilité
- Pas qu’un sujet de grandes villes
- Le piéton comme point d’entrée
- Une ville plus désirable
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